Juillet 1999. Signature du protocole de paix à Ghisonaccia

13 partis nationalistes signent une charte historique de « non agression » et lancent l’idée d’une réconciliation autour du thème de la reconnaissance du peuple corse.
Malgré une démarche de sincérité, cette union se heurte au principe de la clandestinité. A titre d’exemple, comment peut-on imaginer que l’UPC, parti condamnant la violence,  puisse s’entendre politiquement avec la Cuncolta Independantista, parti proche du FLNC Canal Historique ? Les réunions se déroulent toujours à huis clos, mystère….

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A gauche,  Ajaccio, réunion des treize parties nationalistes ( dossier Arte Info ) .
A droite, la clandestinité, un thème de discorde ( dossier Arte Info ) .

A la veille de la visite de Lionel Jospin, le Comité nationaliste a crée un malaise au sein de l'opinion publique insulaire. Il n'a pas condamné clairement les auteurs du meurtre de Dominique Savelli, un jeune boucher exécuté à Belgodère. Cette action, revendiquée par le nouveau groupe clandestin Armata Corsa, a semblé ralentir les efforts consentis pour réconcilier la communauté nationaliste.
 

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